Calvaire des déplacés internes du NOSO à Ebolowa.

Calvaire des déplacés internes du NOSO à Ebolowa.

Selon les autorités administratives, la ville d’Ebolowa dans le sud compte plus de 300 déplacés internes de la crise socio-sécuritaire qui secoue les régions anglophones du Cameroun depuis 2016. En l’absence de la concrétisation des promesses gouvernementales, ces déplacés internes vivent dans des conditions difficiles: pas de travail décent, pas de prise en charge médicale en cas de maladie. Ce qui est une violation des Principes directeurs relatifs au déplacement de personnes à l’intérieur de leur propre pays de l’ONU. Ceux-ci stipulent que c’est aux autorités nationales qu’incombent en premier lieu, le devoir et la responsabilité de fournir une protection et une aide aux personnes déplacées. 

Reportage