La condamnation de Vamoulké intervient alors qu’en 2019, un groupe d’experts des Nations-Unies avait dénoncé la détention arbitraire dont il fait l’objet avant de demander aux autorités camerounaises de le libérer.
La condamnation de Vamoulké intervient alors qu’en 2019, un groupe d’experts des Nations-Unies avait dénoncé la détention arbitraire dont il fait l’objet avant de demander aux autorités camerounaises de le libérer.